Logiquement, ce sont les fumeurs qui doivent faire ce diagnostic du poumon, mais vu l’état de notre environnement si pollué actuel, il est recommandé de faire ce contrôle pulmonaire une fois par an.
Comment savoir que l’on a un problème pulmonaire ?
Sachez que le Covid-19 est un virus qui attaque tout de suite le poumon. Il est donc plus correct que vous connaissez l’état de votre poumon afin de prendre les précautions nécessaires. On parle d’infection pulmonaire quand les poumons ne peuvent plus stocker de l’oxygène. Le premier signe peut être une simple grippe, ou de la varicelle, ou quelques toux, mais le grand souci est de ne plus arriver à respirer. Il est possible pourtant que l’infection soit au départ un problème de circulation alimentaire, un cas qui se manifeste souvent avec les vieux. Ce problème peut également subvenir d’une fièvre ou la fatigue, une allergie, etc. Une fois que l’on tousse ou que l’on a de la morve, on peut tout de suite constater que c’est une infection pulmonaire. Un cas urgent peut surgir tel que la pneumonie ou la tuberculose.
Comment traiter une infection pulmonaire banale ?
La prise de l’antibiotique est très efficace pour lutter contre le germe. Il est préférable d’injecter le médicament dès le début du symptôme pour ne pas aggraver le cas. D’autres cas nécessitent une hospitalisation même. Sachez que l’on peut éviter la propagation des bactéries telles que la grippe ou la rougeole ou la tuberculose avec du vaccin. Le thym, le géranium, l’eucalyptus ou encore la réglisse et certaines huiles essentielles peuvent servir de remède contre l’infection pulmonaire. Si le symptôme s’aggrave et que la personne crache du sang, il faut l’interner dans une clinique.
On peut guérir une infection pulmonaire si l’on agit à temps, tout comme les autres malaises liés à des bactéries, comme le Covid-19. La plupart des infectés ne consultent pas le médecin qu’en cas très grave, voilà la cause de la mort massive.
Ce n’est pas la première fois que le Covid a frappé si fort, il était déjà là en 1960 nommé 229E à l’époque. Les chercheurs ont constaté que plus le virus habite longtemps sur terre, plus il devient violent. Désormais, il est temps de compter les virus parmi les habitants terrestre.